Trente neuf randonneurs ont emprunté ce circuit qui longe l’Arc et l’étang de Berre dans la petite Camargue Berroise.
La plage du Bouquet située entre les anciens salins du midi et l’embouchure de l’Arc est un passage obligé de cette randonnée.
On y trouve des sentiers jonchés de coquillages et parfois un envol d’aigrettes.
Photos :P.Massard
Entre Méditerranée et étang de Berre, se situe le terroir de la Venise Provençale.
Nous avons traversé un vignoble qui s’étend sur près de deux cents hectares , ou l’on trouve encore quelques parcelles cultivées.
Vingt quatre randonneurs étaient présents pour partager cette agréable journée sous un beau soleil.
Photos :P.Massard
Connaissez-vous un moyen de vous transporter quelques heures dans des paysages asiatiques et ensuite de vous croire revenus dans la première moitié du XX° siècle, au beau temps des trains à vapeur ?
… C’était le but de la sortie du 9 juin dernier.
50 personnes se sont retrouvées de bonne heure pour un trajet en bus qui nous a mené jusqu’à la bambouseraie d’Anduze (Gard) ; domaine de 34ha, c’est un jardin botanique d’exception qui dévoile plus de 1000 variétés de bambous, arbres, plantes exotiques.
Né de la volonté d’un homme, Eugène Mazel, qui fait ses premières plantations en 1856, en acclimatant des espèces venues de Chine, du Japon, d’Amérique du nord et de l’Himalaya.
Aujourd’hui, des arbres centenaires, les différentes espèces de bambous créent un paysage extraordinaire.
Malgré un temps maussade, nous avons pu visiter le domaine dans tous les sens, après qu’un sympathique guide nous ait dévoilé tous les secrets des bambous (savez-vous qu’il existe des bambous carrés ?). La pluie a décidé de tomber drue… à midi, et nous avons rejoint le bus à l’heure, pour aller jusqu’au restaurant, « l’entre-deux-gares ». Le GPS ayant fait prendre un chemin de traverse au chauffeur, nous avons pu admirer toute sa virtuosité dans des manœuvres délicates avec son engin de 14m !
Après un repas apprécié par tous, nous avons rejoint la gare d’Anduze pour la deuxième partie du programme : un trajet en authentique train à vapeur, jusqu’à Saint Jean du Gard. Les wagons à l’ancienne étant dépourvus de fenêtres, nous avons pu apprécier tout le « charme » des rafales de pluie et surtout des fumées de la locomotive lors du premier tunnel… Fous rires garantis, avant les superbes panoramas de la vallée des Gardons.
Le joli village de Cornillon-Confoux , installé sur un promontoire dominant le pays Salonais et l’étang de Berre, offre un panorama exceptionnel.
Le site de Cornillon-Confoux sert d’Habitat dès le néolithique; en effet de nombreuses traces du passé ont agrémenté notre balade : apiés, bories , maison de pierre troglodytes, lavoir , et ruelles pavées.
En ce mois de juin, vingt-trois randonneurs ont pu profiter de la fraîcheur bienvenue des berges ombragées et enchanteresses de la Touloubre.
Photos : P.Massard
Trente et une personnes se sont retrouvées pour participer à une dernière randonnée à Merindol, le long des canaux et de la Durance.
Un repas champêtre , suivi de jeux de cartes et de boules ont agrémenté l’après-midi.
Une belle journée agréable et appréciée par tous.
Le massif forestier du Garlaban a fortement diminué à cause de nombreux incendies .Mais les vestiges ,les grottes, les sources ,et les parfums de la garrigue nous enchantent toujours .
On y retrouve aussi l’inspiration de Marcel Pagnol : pour la rédaction de ses mémoires et le tournage de ses nombreux films.
Treize randonneurs pour ce jour.
C’est sous un beau soleil présageant l’été que trente randonneurs ont découvert le massif du Tallagard, situé à l’est de Salon-de-Provence.
Nous avons pu admirer tout au long du parcours les vestiges de la vie pastorale et agricole d’autrefois: de nombreuses bories très bien conservées et de belles restanques parées de murets en pierres sèches
Photos : P.Massard.
Immortalisée par Alphonse Daudet dans ses lettres de mon moulin, la ville de Fontvieille est un havre de paix au milieu des oliveraies, vignobles, et ses collines boisées.
Mais c’est aussi une terre ancestrale, avec des vestiges de la plus grande concentration connue de puissance mécanique du monde antique : le double aqueduc de Barbegal , qui alimentait une grande minoterie hydraulique qui se présentait sous forme de deux séries parallèles de huit roues à aubes échelonnées sur un dénivelé d’une vingtaine de mètres. Seize meules auraient produit de la farine pour la ville d’Arles.
Une belle randonnée que seize participants ont pu apprécier.
Photos : P.Massard
Une randonnée loin des plages habituelles au-dessus de Carry-le-Rouet, en pleine nature, dans les collines sauvages entre combes et plaines, avec de superbes vues sur la mer et Marseille.
Trente randonneurs ont pu apprécier ce beau parcours
Photos : P.Massard
